De plus en plus de personnes optent pour l’ostéopathie de nos jours. Cela est dû essentiellement au fait que cette médecine non conventionnelle épargne, dans certains cas, de la prise de médicaments. Basée sur des manipulations manuelles du système musculosquelettique et des techniques de relâchement myofascial, cette forme de thérapie peut apporter un soulagement dans le domaine du trouble fonctionnel. Que vous soyez confronté à un problème de sciatique, de torticolis, de lombalgie, de douleurs articulaires, de stress, de vertiges, d’insomnies, de maux de tête…, l’ostéopathe vous sera d’une grande aide. Vous venez de déménager à Bruxelles et vous êtes à la quête d’un bon ostéopathe ? Voici les critères auxquels vous devez être attentifs pour y arriver.
Le bouche-à-oreille
La meilleure solution pour trouver un bon ostéoapthe reste le bouche-à-oreille. Eh oui, il n’y a rien de mieux que de se baser sur l’avis de vos proches pour choisir un thérapeute ! En effet, ce dernier, s’il obtient de bons résultats, fera inéluctablement parler de lui et jouira d’une bonne réputation. En plus, des patients satisfaits n’hésitent pas à recommander les services de leur bienfaiteur à d’autres personnes qui sont dans le besoin. Pour ce faire, demandez conseil à votre entourage.
Cependant, si vous ne connaissez personne dans le milieu, vous pouvez recourir aux avis sur internet. C’est une nouvelle de bouche à oreille qui fonctionne également. Il faudra par contre faire attention puisque certains praticiens postent de faux avis sur leur pratique.
La formation
Le diplôme est un critère essentiel dans le choix d’un bon ostéopathe à Bruxelles. En effet, depuis 2002 que cette médecine douce a été reconnue, des normes sont entrées en vigueur pour encadrer la profession. De ce fait, pour être reconnu comme ostéopathe en France, il faut être titulaire d’un D.O. (diplôme d’ostéopathie). Il est délivré après 5 à 6 ans d’études et la soutenance d’un mémoire. Pour en être sûr, vérifiez si le professionnel contacté appartient à l’un de ces regroupements professionnels : le SFDO (Syndicat français des ostéopathes), le Registre des ostéopathes de France et l’AFO (Association française d’ostéopathie). Seuls les ostéopathes ayant bénéficié d’une formation très complète depuis un décret de 2014 peuvent être membres de ces trois instances. En outre, il doit être inscrit sur l’association régionale de santé et avoir un numéro ADELI qui est le numéro de référence des professionnels autorisés à user du titre d’ostéopathes.
L’expérience
Comme dans tout métier, l’expérience est, à priori, une garantie de qualité. Vous convenez avec nous qu’un ostéopathe diplômé qui exerce depuis 10 ans a de grandes chances d’offrir de meilleurs traitements que celui qui a commencé depuis 2 ans. Le premier, ayant déjà été confronté à différentes plaintes au fil des années, fera preuve d’une grande habileté que le second. Il saura poser un diagnostic efficace qui lui permettra de cibler et déterminer une série de traitements spécifiques au cas qui se présente à lui. L’ostéopathe expérimenté possède un grand nombre de techniques spécialisées et adaptées pour différents problèmes.
Bon à savoir : l’ostéopathie ne peut en aucun cas se substituer à un traitement médical adapté. Par conséquent, un ostéopathe digne du nom est tenu de vous orienter vers un médecin dès lors que les symptômes dépassent son champ de compétences.